RENAISSANCE

Azip venait de courir 100 mètres depuis le comissaria en feu pour arriver au parc, il esperait y trouver refuge et, s'appuyant sur un arbre, continua dde discuter avec la voix : "bravo, azip, tu as reussi !"

"merci mais cela n'aurait pas été possible sans toi...petite soeur..."

Il s'évanoui, le fantome de sa soeur veillant au dessus de lui

Tri-Edge avait une de ses vertèbres qui s'était délogée depuis sa fuite mouvementée du poste sans compter qu'il s'était aussi ouvert la tête.

Il était content qu'Azip n'ai pas remarqué ce qu'il appelai "son petit délire personnel".La voiture de police semblait désormai gors d'état de nuire ( HS: voir dernier message au poste de police pour meilleur comprehension)


"Il te reste des cacahuettes ?"

IL s'assit devant lui...Azip semblait evanoui.

Tri-Edge sorti un mouchoir de la poche d'Azip et s'essuya le front.
il pris un stylo et sur un petit morceau de papier :"Pourait-tu poser des cacahuettes sur mon lit dans l'appartement ?"
Il pris le mouchoir désormai taché de sang et le laissa tomber sur Azip avec le message.

Quand Azip se réveilla, Tri-Edge était parti depui longtemps.

Lorsqu'azip se reveilla, le fantome était toujours là....

"te voila reveillé, grand frére,..."

"oui...mais toujours aussi perdu, j'ai gaché ma vie pour te retrouver et te tuer et, finallement, tu es déja morte..."

Azip ne remarqua pas les 4 policiers qui s'approchaient

"Mais, azip, personne ne t'as dit que j'étais morte, si j'étais un fantome, les autres m'auraient vus..."

*MAIS BIEN SÛR*

"NE BOUGEZ PLUS !" , lui cria un policier

Azip n'écoutait pas...Il éclata d'un rire sadique qui aurait même fait reculer Satan lui même.
Et tout commença...Il bondit sur le premier policier, lui fit une clé de bras et une béquille. S'en servant comme bouclier humain, il se servi de l'arme du policier pour tuer 2 de ses camarades avant de sauter sur les épaules du dernier et de lui casser les vertèbres.

Il savait maintenant : *Kilia n'as jamais éxistée, cest un souvenir inventé afin de me donner une raison pour tuer*

Et tous les passants à 500M pûrent entendre, ce jour là, un rire démoniaque et ce cri venant du plus profond des ténébres où il s'était jeté : "AZIP MORGANS, L'ANGE DE LA MORT EST DE RETOUR !!!!"